Toutes ne se repentent pas comme la pauvre Maddalena. Mais toutes pleurent comme elle un jour ou l’autre. La chair finit toujours par être triste. Mais le pire, pour la chair, ce ne sont pas les larmes. Par l’amour ou par Sénèque, la tristesse se console. Le pire, pour la chair, c’est la froideur. De la discipline, dans la main droite. Et de la mort, dans le regard qui s’éteint.