L’encre noire a coulé. Il est tombé. Il a posé contre sa poitrine le canon de l’arme. Il l’a tenu de sa main gauche, il a respiré une dernière fois, il a attendu quelques secondes, et avec son pouce droit, il a appuyé sur la détente. Il croyait avoir pris ce qu’il y avait à prendre. Les quelques regards où il avait cru se perdre. Aujourd’hui, il n’y avait plus rien à savoir, plus rien à sentir que ce désir sec de disparaître, d’exploser, de ne plus être même ce cristal froid, après les larmes. Pour se délivrer de soi, se délivrer de l’existence même : de l’insupportable hasard, et de l’insupportable solitude.
Tosca… Citation trop paradoxale pour ce texte nihiliste…
J’aimeJ’aime
Je paradoxe comme j’éternue : sans le vouloir et bruyamment, c’est vrai.
J’aimeJ’aime
Cioran cette fois… Décidément vous aimez les citations masquées !
J’aimeJ’aime
Oui mon chr, je prends plaisir à les masquer comme vous prenez plaisir à les démasquer… Entre nous j’imagine alors, sans vous connaître, une certaine connivence. Ne sommes nous pas tous ici des survivants ?
J’aimeJ’aime