Te souviens-tu , rue Mellery ,
De nos amours funestes
De la chambre et du lit
Où ivres de gin et de messe
Reposaient nos corps alanguis
Nous quittions , joyeux , les cafés
Les bals , les promenades
Et rentrions pressés
Nous étions sans peur , camarades
Du sang des femmes , du sang aimé
Disparus les écureuils du parc
Le temps a brûlé nos barques
Où êtes-vous , toi Jean-Guy , toi Marc
Marie-Paule , Mirette , Jo
Le temps a brûlé nos vaisseaux
Ils m’ont fait sourire les Grockokos, le Marc-Aurele…
Je me réjouis de les retrouver.
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Grockoco est content
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