Triste, oh si triste
Le silence des amants
Las, oh si las
Le cheval fourbu
Profond, oh si profond
Le remord enfoui
Cruel, oh si cruel
Le rire des enfants
Vaine, oh si vaine
L’espérance de lendemain
Vide, oh si vide
Le regard des chiens
Légère, oh si légère
Ta main sur la mienne
Tendres, oh si tendres
Tes doigts dans mes cheveux
Douces, oh si douces
Tes lèvres à mon front
Blancs, oh si blancs
Les draps des mourants
eh bien Grockoco, de plus en plus déprimants tes graffitis !
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C’est vrai que ce n’est pas joyeux, joyeux, Grockoco… C’est beau…, mais c’est triste…Il est vrai qu’on ne peut pas être joyeux tout le temps…
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